Le P-38 J de Revell Vintage au 1/32

Content que tu le reprennes, "vieux mais toujours bon" ce kit (surtout entre tes mains! ).

pfff le travail de dingue

je sais déjà que j'achèterai jamais le revell !

Vieux mais toujours bon? ben pas comme moi alors...

Moi aussi Cédric, je suis content de le reprendre.
N'empêche, je vais le finir aussi, comme le Piper L4H et le P47 (photos finales en cours). 
Le diorama Normandie 44, toujours en cours en a besoin!

Je vais dessiner les motifs de sa décoration (le nose art n'est pas banal; c'est un cabanon de chiotte, ça va changer des pin up à poil!).

Sylvain, tu vas finir par me faire croire que tu es réticent au scratch....même à dose homéopathique???

@+ Serge

salut serge magnifique boulot

Merci

Strato51 a écrit:

Sylvain, tu vas finir par me faire croire que tu es réticent au scratch....même à dose homéopathique???

non non, je mets des sangles sur les sièges.... des fois

c'est déjà un bon début!

La suite du "diable à double queue".

reprise et finition des jambes de train




Comme prévu, j'ai modifié les fixations avec l'ajout de segments de trombone afin de le rendre compatible avec le lest ajouté
J'ai eu la main lourde car l'avion est bien pesant à présent (je crois que j'ai un peu exagéré!) 




J'ai prolongé les câbles de frein en utilisant du caoutchouc de section circulaire, peint en brun noir et j'ai du raccourcir les axes de roues afin de les rendre compatibles avec celles en résine de remplacement.





Vues des équipements en scratch présents sur la plage à l'arrière du poste de pilotage






Quelques vues de détail de l'extrados avant la reprise des travaux de patine.



le marchepied d'accès réalisé en scratch est en place à l'arrière de la cellule.



le "supercharger" couleur rouille brûlée du moteur gauche, avant les travaux de salissure








Vues générales







Les détails en scratch apportées sur la jambe de train avant améliorent l'aspect de cette pièce très visible.



La suite arrive avec les marquages et décorations.

Serge

magnifique

...faut pas exagérer, les photos sont bien et ça aide!
amicalement
Serge

Bonjour,

Bravo c'est superbe.

C'est beau...

:33333333333333 :33333333333333

Encore un bel oiseau

Hello,
 
Avant de reprendre le cours de mon montage, je vous propose une réflexion sur deux thèmes associés au P-38; l'un sur un sauvetage épique et l'autre sur une charge offensive qui fait frémir.  
 
Un monoplace pour deux ?

Dans une précédente étude sur le Mustang II (les avions du diorama été 44 en Normandie), je vous contais l’histoire du pilote polonais Tadeusz Tamowicz crashé sur l’ALG en construction A15 Maupertus - Querqueville et récupéré par son chef d’escadrille Eugeniusz Horlaczewski  à bord de son P-51, avec lequel ils parviennent à rejoindre leur base en Angleterre.



Voici une anecdote similaire, cette fois à bord d’un P-38.

Une cinquantaine de Lightning du 82 Fighter Group, 96 Fighter Squadron basés en Italie, ont pour mission d’attaquer la base aérienne de Foscani, située à une centaine de km de Ploesti, en Roumanie.
Dick Willsie qui ferme la marche est touché au moteur gauche par la flak intense.
Il le stoppe et met l’hélice en drapeau, mais continue son attaque sur un seul moteur.
Sa passe lui permet d’endommager au sol un Bf 109 et de faire exploser un Me 323, mais son avion est à nouveau sévèrement touché et c’est le moteur droit qui rend l’âme.
 
Il annonce à la radio qu’il va tenter un atterrissage.
Le pilote Dick Andrew qui vient d’épuiser ses munitions lui répond : « trouve-moi un terrain plat et je viens te chercher ».

Willsie a de la chance : non seulement il est physiquement indemne, mais il trouve un champ possible et "s’y crashe fort proprement".
Il prend même le temps d’installer une charge pour saboter son avion et le faire exploser.
 
Le terrain est court pour un P-38 et après une première approche loupée, Andrew parvient à se poser sans casse à proximité.
Couvert par d’autres P-38 de l’escadrille qui tiennent à distance les troupes ennemies, il rejoint Andrew qui se sépare de ses cartes et de son parachute, aide Willsie à grimper à bord, se rassoit et compte tenu de sa taille, lui propose de prendre les commandes.



Les deux hommes s'installent difficilement dans le cockpit et Willsie réussit à assurer un décollage scabreux mais efficace, en frôlant la cime des arbres au bout du champ.



Démunis de carte aéronautique, ils utilisent la carte routière du pack de survie pour rejoindre Potlava en Ukraine où un contingent de l’USAF est en poste et après deux heures et demi de vol l’avion se pose sans dommage sur la base.

Le chef mécanicien de Lockeed, Richard C. "Stumpy" Hollinger, n’en croit pas ses yeux quand il voit s’extirper, non sans mal, deux pilotes du cockpit du monoplace !

de gauche à droite: Dick Andrew, Richard Hollinger et Dick Willsie




photos: collection Andrew (auteur inconnu)
Pour cet acte de bravoure, Dick Andrews recevra la Silver Star.

 
Attention, le napalm arrive! 
 
Un gélifiant ajouté au carburant aviation contenu dans les bidons largables forme une substance d'apparence semblable à celle du savon. 
Son nom est napalm ; il provient de la contraction de deux mots, naphtalène et palmitate: na[phténate]-palm[itate] et c'est une belle saloperie!
 
Au contact du sol, l’ensemble s’enflamme et se répand en brûlant l’oxygène à très haute température tout en dégageant une grande quantité d’oxyde de carbone.
Le gélifiant colle systématiquement aux structures qu’il touche. 
Il brûle atrocement la peau et les tissus jusqu’à l’os et pour parfaire cette horreur, du phosphore blanc est associé afin d’amplifier les effets incendiaires. Il est impossible d'en stopper sa combustion.


 
On meurt atrocement par asphyxie et brûlures et les dégâts sur l’environnement sont abominables avec destruction complète des écosystèmes. Difficile de survivre à cette horreur !
 
remplissage des bidons externes sur un P-38





Largage de napalm sur des objectifs dans le Pacifique






Remplissage de napalm sur des Razorback de l'USAF







et sur un Thunderbolt français pendant la guerre d'Indochine





On doit cette invention abominable à un chimiste américain de l'université de Harvard en 1942, Louis F. Fieser (1899-1977), qui en était si fier qu'il collectionnait les coupures de presse relatives à son utilisation!
 

 
L’USAF en fit usage contre la garnison Italo-Allemande basée sur l’île de Cézembre, au large de  saint Malo le 6 août 44 puis contre la Poche de Royan et la Pointe de Grave, pilonnée dans la nuit du 13 au 14 avril 1945 par 1200 bombardiers.

Nuit d’horreur aussi pour la population civile française de Royan qui va payer un lourd tribut à ce bombardement aléatoire et incompréhensible, effectué à haute altitude et dont le napalm va gravement impacter la ville endormie.
 
La dernière poche de résistance allemande qui en recevra sera celle de Saint Nazaire le 11 mai 1945.
 
Le napalm est aussi utilisé sur les villes allemandes de Dresde, Berlin et Hambourg, mais c’est sur le théâtre Pacifique et les principales villes nippones qu’il est le plus répandu.
 
A l’issue de la 2 GM, son utilisation se poursuit sur de nombreux théâtres d’opérations à travers le monde et touche indistinctement civils et militaires.

Lors de la guerre du Vietnam, suite aux nombreuses manifestations internationales contre son usage,
l’Organisation des Nations Unies et le Droit International Humanitaire, finissent par faire appliquer les Conventions de Genève qui proscrivent toutes armes ne faisant pas la distinction entre les civils et les combattants. 

On verra par la suite que cette décision n’a pas été respectée partout !
 



Cette digression pour accompagner la suite du montage, car l'avion choisi était équipé avec des bidons de napalm.

Serge

Ces passages historiques sont toujours aussi intéressants.

Bonjour,

Oui merci pour tes montages toujours complets avec des précisions qui sont toujours intéressantes .

Merci nateos.
JP, tu trouves mes recherches historiques inintéressantes ?!


Choix de l’Avion et du pilote
 
C'est le P38 J-25-LO, monture du Major James E. Tucker du 402 Fighter Group, commandant le 370 th Fighter Squadron que j'ai choisi, lorsqu’il était basé sur l’ALG n°A-3 à Cardonville en Juillet 44.

 
 J. E. Tucker


 

 
Son indicatif est E6-T, son « serial number » 44-23637 mais il n’est pas porté sur la queue de l’avion.
 
Alors que les avions alliés possèdent à présent la maîtrise du ciel de guerre, les camouflages ont été abandonnés au profit de la robe tout aluminium dont ils sont revêtus à leur sortie des chaînes de montage.
Toutefois, l’avion de Tucker est encore pourvu du neutral grey/olive drab.

L’avion est photographié ici au premier plan sur une base en Angleterre auprès d’autres P-38 de l’escadrille, dont certains en robe aluminium.
 

 
Sur l’extérieur des plans fixes et gouvernails, deux grands cercles blancs et en faces internes est reportée sa lettre individuelle, le T en blanc de grande taille.
 


 
Sur la section centrale et les capots moteur, les limites latérales entre les teintes ne sont pas vraiment floues. On remarque le nom du pilote et la représentation graphique des missions opérationnelles effectuées. Les infos concernant l'avion sont matérialisées en-dessous.
 

 
Le nose art choisi par Tucker est bien singulier ; il ne représente pas une pin'up dénudée, comme c’était souvent le cas, mais un goguenot de jardin frappé par un éclair rouge, bardé de trois étoiles.



Je l’ai dessiné en m’inspirant des photos d’époque et du profil en ma possession, puis je l’ai imprimé sur décalque vierge (ici avec d’autres motifs).




 
A l’exception des cocardes, les marquages individualisés sont toutes des créations personnelles réalisées au pochoir ou dessinées par ordinateur puis imprimées sur décalques vierges.
 
De part et d’autre sur l’extérieur des capots moteur, l’inscription Margie II, en l’honneur de son épouse. 
Difficile de savoir si l’inscription est en jaune ou en blanc. Les vues d’artistes connues utilisent les deux couleurs mais les photos d’époque sont monochrome et ne permettent pas de trancher.

J’ai opté pour le blanc, mais sans certitude.
 

 
 
Traitement des bandes d’invasion :

On observe souvent sur les photos d’époque (P-51, P-47, Spitfire, Typhoon…) des bandes approximatives issues d’une peinture bâclée. 
Ceci s’explique par le fait que le personnel au sol a parfois été avisé très tardivement de l’obligation de leur pose et il a dû s’adapter avec les moyens du bord dans la nuit du 4 juin, car le jour initialement prévu pour "Overlord" était fixé au 5 et reporté au 6 cause météo défavorable.

Dans certains cas des vétérans ont relaté qu’ils avaient utilisé des brosses à chaussures, voire des chiffons pour les peindre !
Dans ces conditions le résultat final s’explique aisément.
 
Par contre, le P-38 fait exception et arbore des bandes de débarquement parfaitement réalisées.
L’explication est que sa silhouette remarquable ne pouvant être confondue avec aucun autre avion ennemi - ce qui d’après l’Etat Major garantissait l’absence de dommages collatéraux - il fut choisi pour « ouvrir le bal de l’opération Overlord » et il put ainsi bénéficier du temps nécessaire à sa préparation.
 
Silhouettes remarquables des "diables à deux queues" en formation dans le ciel normand




impressionnante formation en "finger four"





Sur cette photo de l’extrados d’un P-38 "photo-recco", les bandes sont bien alignées, mais c’est l’angle qu’elles épousent sur les ailes qui est curieux.


 
Mort du pilote ou quand le "napalm se venge"!

Marié, père de deux enfants, James E. Tucker ne reverra jamais sa famille.
 
Le 402 th F.G. fut le premier groupe aérien à être doté de napalm sur le théâtre d’opération européen et il fut utilisé pour la première fois sur des convois allemands le 17 juillet.
 
Le 10 Août 1944, il a 28 ans et il est leader de l'escadrille qui a reçu pour mission d'accabler les troupes terrestres allemandes, afin d’empêcher leur ravitaillement en hommes et matériels.
L'objectif précis des pilotes du 370th FS est la destruction d'un pont situé au Nord de Châteaudun.

Arrivés sur les lieux, les P-38 sont accueillis par une flak intense.
Dès le début de l’attaque l’avion du Major est atteint par le feu nourri des batteries de DCA.
Un de ses bidons de napalm s’enflamme. Il le largue aussitôt, mais le feu s’est déjà propagé à l’avion qui devient incontrôlable. Trop bas pour évacuer en parachute, le P-38 part en piqué et s’écrase.



Son corps est retrouvé par les habitants du lieu qui récupèrent sa plaque. 
Il est enterré provisoirement à proximité des lieux du crash, où plus tard, une stèle du souvenir sera érigée par sa famille.



Serge

JP a écrit:

Ces passages historiques sont toujours aussi intéressants.

Oup's, c'est une erreur de frappe et en plus avec des fautes.. Tout va bien!!!

Je te présente toutes mes plates excuses..

:bbbbb: :bbbbb:

j'avais bien compris JP et je voulais te taquiner un peu! 
Amicalement

Bonjour Strato51,

le montage est sublime, mais ce que j'aime par dessus tout, c'est l'Histoire qui entoure le dit montage, je raffole de ce genre d'histoire .

Tomcat71

Sacrés morceaux de bravoure, chapeau  

il y a tous dans ce post j'adore
montage, histoire et une sacrée leçon de scratch
j'ai pris pas mal de note

Bravo  

J'ai adoré le passage sur le sauvetage du pilote, une très belle histoire dont je raffole! merci !

Comme les copains, c'est un vrai plus au montage.
:mlml: :mlml:

Suite et fin!

Tout d'abord une info complémentaire concernant E. Tucker: suite à son crash, son corps a été récupéré par l'USAF 7 jours après son enterrement provisoire et renvoyé aux USA. 
Les restes de son avion ont été retrouvés le 31 mars 2009 à Marboué (Eure et Loire), à 3 km au Nord de Châteaudun.


Voilà les photos finales de cette réplique dont la maquette est sortie commercialement en 1970.
"La mise à niveau" détaillée a été fort intéressante à mener et comme pour le P-47 de Curran ou les L4-H, il a pas mal occupé mon temps.

Tous les marquages de servitude créés pour la circonstance, sont mis en place.
Il y en a beaucoup, mais curieusement (et ça le fait à chaque fois) au final, ils ne sont vraiment pas remarquables et ne correspondent pas au labeur engagé, parce que j’ai quand même œuvré une journée pour tous les mettre en place!


ici, quelques uns sur la poutre gauche






Une fois satisfait des "effets sales" que je souhaitais, j’ai recouvert tout l’avion d’un voile de vernis brillant (sauf les trains d’atterrissage) afin de faire disparaître les épaisseurs des décalques et fixer les poudres de pigments.








Après un long séchage, j'ai atténué la teinte, lissé l'ensemble à la paille de fer d'ébéniste n° 00 et à l'issu d'un nettoyage drastique au compresseur afin d'éliminer tous les résidus (et ils sont nombreux), j'ai tout recouvert par un vernis mat atténué (2 parts de mat et une part de brillant).

Le thème principal du nose art (le cabanon des « chiottes ») n’a pas posé de problème à la réalisation, l'éclair rouge non plus, mais la mise en place des 3 étoiles à rajouter a été délicate.
Imprimées sur calque vierge, le jaune n’apparaissait pas du tout sur le vert olive.
J’ai dû les imprimer à nouveau sur fond blanc, mais il a fallu ensuite que je les détoure en vert olive à l’aide d’un pinceau extra fin.



Les mitrailleuses et le canon sont récupérés dans les boîtes à rabiot, peints et patinés puis mis en place dans le nez de l’avion en respectant leurs longueurs respectives, photos à l’appui !

Les panneaux concernant le nom du pilote et la représentation graphique des missions effectuées n’ont pas posés de problème. Une fois toutes les décalques en place, elles sont assouplies au Microscale et une fois sèches, elles ne bougent plus.




De part et d'autre des capots latéraux, Tucker avait fait apposer le nom de son épouse.



Le train avant après les reprises en scratch



Par conception, la grande trappe "était mal foutue". Un écart très important se voyait beaucoup trop sur l'avant et s'écartait beaucoup de ce qu'on pouvait observer sur les photos de l'avion. J'ai modifié la pièce afin qu'elle soit plus en adéquation avec la réalité.



Pour la patine, j’ai utilisé des pigments en poudre à sec, terre de sienne, terre calcinée, sable et noir, des crayons gras à l’estompe et aussi quelques touches de « feutre aquarellable ».




Les grandes traînées bien visibles sur et à l’arrière des « superchargers » sont passées à l’aérographe en jaune sable et brun clair très dilués.




Puis les salissures sont ajoutées avec les pigments frottés à l'estompe.
Les lignes de structure et les rivets d’intrados ont reçu un lavis acrylique brun/noir très dilué.

Le phare d’atterrissage dans le bord d'attaque de l'aile gauche est confectionné avec un cercle de styrène transparent collé sur fond de pastille aluminium découpé à l’emporte pièce et son cabochon est obtenu à l’aide d’un morceau de rhodoïd formé à chaud sur le bord d’attaque, le tout fixé avec la colle Cléopâtre (une sorte de colle à bois à séchage rapide, de couleur bleue pâle. 



Elle cristallise et devient transparente au séchage. Très pratique pour les collages sur éléments transparents, on peut même réaliser des petites pièces en passant plusieurs couches entre séchages, car il y a du retrait avec le volume.

Le vernis est de la marque Luxens. Il est bien adapté à mes travaux.

En intrados j'ai créé les 3 lampes d'identification ami/ennemi (habituelles sur les chasseurs de l'USAF): rouge, vert et ambre.
on remarque aussi les travaux complémentaire effectués dans les puits de train et la présence de quelques stencils.






En bout d’ailes (intra et extrados) les lampes en goutte d’eau : rouge à gauche et bleue métallique à droite.
Aisé à réaliser avec une pointe de couleur puis une mini goutte de vernis brillant Cléopâtre.

ici sur l'aile gauche




 
Les câbles d’antenne depuis le bord d’attaque des plans fixes verticaux qui se rejoignent en traversant la verrière arrière.

 

 Le « hood », toit de la verrière, a été fixé en position ouverte en respectant l'angle remarquable sur les photos d’époque.



J'ai ajouté le dispositif d'ouverture et de verrouillage de la verrière; il est formé d'une poignée centrale, de deux câbles latéraux  reliés à deux manettes basses.

 

Les vitrages latéraux étaient mus par une manivelle, comme sur les automobiles. Je les ai représentés en position basse. 
La mention no step est bien visible.



Deux vues de l'intrados.







Pour finir, reste à mettre en place les deux bidons de napalm (l’un vert mat foncé, l’autre en métal naturel).







On remarque bien l'angle négatif vers l'arrière, que je suis ravi d'avoir réussi à restituer. pour ce faire, je rappelle que j'ai allongé la jambe avant et réduit les latérales et j'ai chargé (un peu trop) les nacelles moteur.



Les photos finales à venir dans la rubrique montage terminé, en attendant de le présenter avec les deux L4H et le P-47 (et tout ce qui va avec) sur les deux socles en cours du diorama « été 44 en Normandie ».

Bonne lecture et merci à tous pour votre soutien et vos commentaires.

Amicalement
Serge