Bücker Bü 131 D Jungmann ICM 1/32

Merci pour cette page d'histoire (toutes ces petites histoires qui font la grande )

Je connaissais cette histoire dans l'Histoire mais plus toutes les péripéties, le fait qu'en temps de guerre l'un des 2 aviateurs se soient permis une telle "folie" est très triste et regrettable! Merci pour cette remise à niveau des connaissances Serge!

Merci beaucoup pour cette belle page d'histoire Serge..

FW190Dora a écrit:

Je connaissais cette histoire dans l'Histoire mais plus toutes les péripéties, le fait qu'en temps de guerre l'un des 2 aviateurs se soient permis une telle "folie" est très triste et regrettable! Merci pour cette remise à niveau des connaissances Serge!

Hors le fait de leur exploit du 29 avril 1941, leur histoire n'est pas très connue et dès lors, je ne suis pas étonné que tu en ignorais les détails...

Si l'aventure de ces deux jeunes pilotes est relativement connu, ce qui l'est moins ce sont les détails de la préparation et de la réalisation de leur réussite et surtout de la chance qui ne les a pas quitté dans toute cette aventure.


Il m'a paru en effet bien suspect que leurs traversées du pays, notamment dans la zone occupée et leurs déplacements entre Caen et Paris ce soient passés comme en "colonie de vacances", alors que l'occupant était très velléitaire et attentif aux contrôles des personnes. Heureusement qu'ils avaient les preuves de leur démobilisation l

J'ai passé beaucoup de temps à rechercher et recouper les informations accessibles sur l'évènement et sur la vie de Denys et Jean et comme souvent, je me suis heurté à des incompatibilités et des erreurs sur les faits et les dates.
C'est courant.
J'ai tenté de remettre "de l'ordre dans tout ça" avant de proposer, en toute humilité, ce rédactionnel.
Il n'est évidemment pas exhaustif et susceptible de contenir aussi quelques erreurs, mais la lecture des différentes déclarations de Denys Boudard tout au long de sa longue vie d'instructeur à Falaise et à Carpiquet et les témoignages de ceux qui l'ont côtoyé et bien connu recoupent les faits.

Ces deux jeunes gens n'avaient pas "froid aux yeux", étaient prudents, mais et ils ont bénéficié d'une chance inouïe.


le "Père Boudard" à Caen en août 93 (photo Yves Morieult)





En ce qui concerne ton sentiment sur l'erreur fatale de Jean Hébert, je citerai un dicton qui pourrait l'expliquer:

"l'amour a ses raisons que la raison ignore". Là, ça lui a couté cher!

Merci Cédric pour ta lecture attentive  et des impressions.

Amicalement
Serge

Très belle histoire dont je ne connaissais pas les détails non plus
Ta littérature est toujours aussi agréable à lire

Grand merci à vous 5 qui m'avez suivi dans ce récit.
Je continuerai (et finirai) avec le montage de la maquette ICM....
@ + Serge