Ju 87 G-2 au 1/32

Je l'espèère, ça me ferait mal à l'aorte qu'il s'affaisse d'un coup sec  

Bon, la phase à la fois plaisante et ô combien laborieuse des détails est en plein boum

Les échappements... neufs   (je sais, mais ça devait bien se produire de temps en temps, non ?)



Essuye-toi les pieds avant d'entrer



La roulette arrière, donc :



Le blindage...
P... pour une fois que je peux mettre de la rouille sur un avion, j'allais me gêner, tiens !!! :xxxx:  :xxxx:  :xxxx:  :xxxx:  :xxxx: 



@ plus les gars

Bin!!!!!! Le Souriceau je dis   

La patine avance bien! il faudra attendre une photo d'ensemble pour apprécier ton boulot.
Bientôt le final!!

Merci les gars
On n'en est pas encore à la fin, il y a du taf un peu partout
Pour l'heure je suis en train de me bagarrer avec la verrière du mitrailleur arrière : il y a trop à voir pour ne pas la laisser mobile. Pour ce faire, une bonne MG15 sur rotule directement dans le pare-brise arrière aurait été le paradis, mais ce n'est pas le cas
Arbeit, Fernand, Arbeit  

    tu test lachè sur la patine   

C'est un fait que j'ai envoyé gras
Mais ça lui va bien, je trouve ; vous me direz à la fin

J'en perdrais presque la vue ...  :44444444444444 tellement c'est sublime mlasouris!

J'en perdrais presque la vue ...  :44444444444444 tellement c'est sublime mlasouris!

Merci Dora

Le poste du mitrailleur





Les boîtiers de culasses parlent d'eux-mêmes : il s'agit de la version embarquée de la MG34. Cette arme remarquable, remplacée pour l'infanterie par la MG42 à cause de son coût de fabrication et de ses ajustages serrés supportant mal sans nettoyage assidu les rigueurs du combat, trouva un deuxième souffle dans les blindés et, dans sa version MG81, dans l'aviation
Le museau est différent ; avec une visée largement déportée sur le côté, on pouvait s'affranchir à l'occasion du cache-flamme de forme conique traditionnelle, bien que certaines versions en fûssent munies
Avec deux valises de 1000 coups chacunes, le tireur avait semble-t-il du répondant, mais le débit hystérique des MG lui laissait en tout et pour tout une seule petite minute de feu, c'est-à-dire pas plus qu'un mitrailleur américain sur bombardier ; toutefois, c'était dans le même laps de temps plus du quadruple de pruneaux qui prenaient l'air et, même si on était loin du 12,7, ça devait tout de même faire mal
Pour des raisons esthétiques, je n'ai pas reproduit la vraie alimentation des MG, qui consistait en deux gaines latérales contenant les bandes de cartouches et les empêchant de voltiger dans tous les sens pendant le tir
Le pied sur lequel repose l'assemblage est en fait une autre gaine annelée en toile, et les étuis vides tombaient dans la caisse devant les pieds du tireur (on ne lâchait rien sur le Stuka, les ailes ne comportent pas non plus de fenêtres d'éjection des étuis sous l'intrados)

salut,

c'est du superbe travail, j'adore le résultat, pour la patine c'est parfait j'imagine bien cette bête bien attaqué...
cela lui donne un look bien guerrier...

vivement le final..

    

Tu as bien fait de laisser les maillons visibles la souris, on dira que les armuriers n'ont pas fini leur boulot ... et merci pour les explications!     

Merci pour les explications de la MG. Enfin 1000 pruneaux en 1mn ça fait mal, c'est du concentré d'acier.
Très bien rendu ce poste de tir, j'espère le voir un jour.

Coucou everybody et merci
En principe j'aurais dû ne pas laisser les cartouches couleur laiton (rassurez-vous depuis elles ont pris un coup de vernis mat) car à l'époque concernée , donc à peu près printemps 44, il y a longtemps que les étuis étaient en acier laqué vert (tiens si vous ne savez pas quoi faire de votre pot de "RLM 83", c'est pilepile la couleur).
Mais comment lutter contre le look imbattable des bandes dorées ?

splendide mon mickey,c'est trop fort    

 Ed'

Superbes tous ces details!!!!!!!

C'est epoustoubourrifant!!!!

Chalut Tassin
Je me défonce au mieux! Bon, on y est presque, avec le montage des canons, évidemment à préserver le plus longtemps possible pour des raisons de dépassage de tous les côtés, les rendant propices à un accrochage destructeur dont je me remettrai difficilement sans mes cachets préférés :uuu: 



Les collimateurs des MG : comme de juste et ainsi qu'il fallait s'y attendre, les fameux guidons ont disparu au champ d'honneur du bordel cosmique permanent dans lequel j'officie



L'hélice, rongée jusqu'au bois par la neige de l'hiver passé et par les 1001 bordilles rencontrées dans l'air pendant les combats:



On y est presque :xxxx: :xxxx: :xxxx: :xxxx: :xxxx:

Hello Mister M,

Ca le fait rudement bien !

Salut Titi, j'enrage, je n'arrive pas à faire les mises au point ce soir, il y a toujours un schcrougnougnou de flou, je réessayerai en lumière naturelle (en même temps, si je prenais un peu de temps pour apprendre à me servir correctement de cette machine infernale, comme on dit aux Martigues "ça irait mieux"...)

Sympa l'histoire des douilles couleur verte, j'ai précieusement noté dans mes bibles au tome Luftwaffe.
La pour le coup, il faut voir l'ensemble final tellement il y a de patine, mais ça va le faire. Si j'arrive à retrouver cette fichue photo d'un Ju-87 à l'est je te l'envoie, ton modèle ressemble beaucoup à celui du cliché. Doit avoir 15kg de boue sur lui.

salut,

j'adore le résultat vraiment superbe....

    

Salut La Souris
Je déteste l'engin mais quel boulot remarquable tu fais dessus. J'adore les trains en particulier
Bonne suite

De plus en plsu magnifique ton Junkers!   

Merci les gars
Rendez-vous demain aux terminés 1/32 pour les photos finales
Je comptais terminer mes figurines, mais elles ne me plaisaient pas, donc elles passeront la nuit dans l'alcool à brûler pour leur apprendre à gonfler Gérard Lambert ; on refait tout pour une autre fois

Ah ! je n'ai peut-être pas fauté tant que ça pour les cartouches : à force de fouiner, il appert que certaines munitions "spéciales" et/ou fabriquées dans certains pays (occupés ou coopérants) l'étaient toujours en alliage couleur laiton pendant toute la guerre , et certains lots réservés à la Luftwaffe de même. Donc on n'est pas mal en fin de compte