Opération Robinson - Avro Lancaster Mk.1 (HK Model - 1/48)

Nickel comme ça

Les civils français (et bien d’autres pays) ont payé un lourd tribut lors de ces bombardements de masses ............................

Le Creusot, c'est les usines Schneider. Le bombardement du 17 octobre 1942 a fait 63 morts et 250 blessés.

Au 849eme jour de la lutte du peuple français pour sa libération, l’un des chroniqueurs de la France combattante, Jacques Duchesne explique dans sa chronique du 20 octobre 1942 pourquoi les usines Schneider du Creusot ont été bombardées.

Il est désormais patent que tous les complexes industriels qui travaillent pour l’occupant et répondent aux commandes de l’armée allemande pour soutenir son effort de guerre sont des cibles pour les Alliés. Il faut empêcher leur production et le seul moyen dont ils disposent ce sont les unités de bombardement de la RAF.

« Le Creusot a été bombardé après la Ruhr, après les usines Skoda en Tchécoslovaquie, parce qu’il produisait pour l’ennemi des canons de très gros calibre, des locomotives, de l’acier trempé et de la fonte pour les industriels allemands, des transports et des machines-outils et aussi des plaques de blindage, utilisées en particulier dans la production de chars de combat ». Le chroniqueur explique que les canons qui sortaient des chaînes du Creusot étaient allemands parce que Schneider disposait dans ses usines les tours indispensables à la production continue de ces armes conventionnelles redoutables.

Même chose pour les locomotives qui toutes quittaient la Saône-et-Loire pour rejoindre le Reich. Pour expliquer les éventuels dégâts collatéraux provoqués par de tels bombardements, Duchesne résume les consignes qui ont été données aux équipages: « Les appareils devront jeter leurs bombes sur l’objectif l’un après l’autre. Voler à une altitude aussi basse que possible. Il est à signaler que la station électrique bombardée fut atteinte d’une hauteur d’environ deux cents mètres ».

Citant le rapport des aviateurs, le speaker français ajoute : « L’heure de l’opération fut choisie avec l’espoir que le danger pour les ouvriers serait réduit au minimum si l’équipe de jour avait déjà quitté l’usine. Voilà ce qu’un Français peut dire ce soir à ses compatriotes pour qui la guerre se poursuit dans des conditions très dures mais qui, nous le savons sont prêts à avoir tous les courages en attendant le jour où ils pourront les armes à la main contribuer à chasser les Boches aux côtés de leurs Alliés ».

Merci pour ces explications..

Merci cette histoire dans l'Histoire, tragique mais la mentalité de l'époque était très courageuse.

En ce qui concerne ta maquette je trouve juste les empennages circulaires des bombes un peu trop épais au vu des photos d'époque, ta peinture est très réussie!

Merci !
Oui je suis d'accord pour l'épaisseur des empennages des bombes mais je n'ai pas voulu y toucher.... par pure fainéantise !

Les racks en photodécoupe pour les bombes de 1 000 livres sont en place :

C'est fin!!

Et pas simple à mettre en place !

Salut mon fifi, il y a un moment que je ne suis pas venu sur ton poste, c'est vraiment impressionnant tout ce boulot bravo, bonne suite à toi, ta peinture est magnifique !! Horrido !!!

Merci mon copain !!!
La suite après les vacances !!!!!

Merci !

Nickel , et bonnes vacances

Merci !!!!!!

La trappe d'évacuation avant à reçu son décalques en 3D :



Puis elle est mise en place ainsi que le poste du bombardier :







Faudra bien regarder pour la voir une fois tout fermé !!!!!

Les petits détails qui font toute la différence

Et plaisants à réaliser !

Philippe a écrit:

Et plaisants à réaliser !

C'est comme cela que je vois notre hobby

Moi aussi !

Super, mais c'est bête de devoir tout fermer..

Merci JP !
C'est souvent comme ça !!!

La patine des bombes terminée, elle sont mises en place :











L'antenne "washing line" Lorentz SBA (Standard Blind Approach) pour les retours à la base sans visibilité est en place sous l'arrière du fuselage :





Les feux d'identification sont peints, ils seront installés une fois secs :



Il est temps de s'occuper de la (grosse) roulette de queue en résine (CMK) :

Nickel tout ça

Pour le moment tout se passe bien !

Les feux d'identification sont mis en place :





Puis masqués :